Cette semaine, parmi les évènements clés, on peut noter les évènements suivants: premièrement, le président des États-Unis D. Trump et les législateurs ont conclu un accord temporaire sur le financement gouvernemental afin de revenir le 15 février à la question comment surmonter les contradictions existantes. Cette semaine, la Fed tiendra une réunion lors de laquelle elle ne devrait pas prendre de décisions en faveur d’un changement de politique monétaire mais plutôt étudier le contexte du discours. De plus, le vice-Premier ministre chinois Liu He devrait se rendre à Washington les 30 et 31 janvier pour poursuivre les négociations sur les questions commerciales. Les rapports d’entreprise continueront à être publiés; alors que la saison passe sans surprises, les prévisions des entreprises restent toutefois limitées.

La crise au Venezuela se poursuit, car le président Maduro ne va pas démissionner, néanmoins, le chef de l’opposition gagne le soutien des autres États. La situation actuelle commence à peser de plus en plus sur la production de pétrole dans ce pays.

La décision des autorités américaines d’interrompre le fonctionnement du gouvernement pendant au moins trois semaines a eu un effet positif sur les marchés en Asie. Cependant, le marché japonais n’a pas trouvé une remontée face au renforcement du yen. D’autres indices asiatiques ont également commencé la journée en hausse, mais sont descendus rapidement. Les marchés restent vigilants à la future réunion du vice-Premier ministre chinois Liu He et du représentant américain au Commerce, Robert Leitheiser, prévue pour les 30 et 31 janvier.

La fin de la semaine dernière a été positive pour le pétrole dans le contexte des risques de restrictions américaines sur les exportations de pétrole vénézuélien. Cependant, le volume de ces livraisons sur le marché mondial n’est plus aussi important. Par conséquent, leur absence est peu susceptible d’affecter de manière importante l’équilibre global entre l’offre et la demande. Les cours du pétrole WTI supérieurs à 50 USD stimulent à nouveau la production aux États-Unis, qui pourrait dépasser en février 12,0 millions de barils par jour et de dépasser 14,0 millions barils par jour d’ici cinq ans.

Vendredi, le marché français du blé a terminé la journée dans la «zone rouge» après avoir atteint la veille un sommet de deux semaines. Cela était du a l’affaiblissement de la position du blé tendre à Chicago et le raffermissement marqué de l’euro. A Paris, le contrat de mars pour le blé meunier a été négocié à 205,75 euros / tonne (234,12 USD / tonne).

Vendredi, les ventes spéculatives dominaient le marché du blé à Chicago suite à une remontée des cours au plus haut niveau en cinq semaines. Le contrat du blé tendre SRW a été négocié à 191,06 USD / tonne.