Cette semaine, les indices européens ont continué leur hausse grâce aux améliorations prévues dans les relations commerciales entre la Chine et les Etats Unis.

L’UE a mis en garde la France et l’Italie sur le contrôle des dépenses budgétaires, mais aucune sanction n’est prévue contre les pays. Hier, l’indice DAX a atteint 12757,87 p. (+ 0,98%), CAC 40 : 5645,31 p. (+ 0,16%), FTSE 100 : 7213,61 p. (+ 0,88%).

En raison des sanctions américaines contre les transporteurs de pétrole iranien, le prix du pétrole à Shanghai, une fois converti en dollars, reste élevé, à environ 62 dollars. La courbe à terme du pétrole Brent continue de présenter un retard important à court terme, ce qui, combiné aux prévisions d’excédent au premier trimestre de 2020, crée la menace d’une baisse des prix en dessous de 55 dollars le baril. Hier après-midi, le Brent a atteint 59,47 USD (+ 0,08%), WTI : 53,82 USD (+ 0,07%), or : 1486,8 USD (-0,2%).

La saison des rapports aux États-Unis pour le troisième trimestre de 2019 est à son apogée: vous pouvez attendre le nombre maximal de rapports d’ici une semaine et demie à deux semaines. Beaucoup notent que les analystes sont trop sceptiques quant aux bénéfices des entreprises et des banques américaines au troisième trimestre. Le principal «phare» du marché américain est à présent la première publication du PIB américain et la réunion de la Fed du 30 octobre, à laquelle le seuil de taux de base sera abaissé de 0,25% pour la troisième et peut-être la dernière fois pour cette année.