Les indices asiatiques présentent une dynamique multidirectionnelle. La première estimation du PIB de la Corée du Sud pour le troisième trimestre indique une augmentation de 2,0% sur un an par rapport aux prévisions de 2,1%. L’indice préliminaire des directeurs d’achats (PMI) du Japon a atteint 48,5 points, indiquant le risque d’un ralentissement de la production industrielle. Ce matin, l’indice composé des plus grandes sociétés chinoises des bourses de Shanghai et de Shenzhen, le CSI300, a perdu 0,17% (3864,37 points). L’indice japonais Nikkei225 a atteint 22750,6 points (+ 0,55%), tandis que l’indice Hang Seng a progressé de 0,62% (26731,8 points).
Après deux semaines de croissance, les indices boursiers américains ont atteint leur maximum historique. L’indice S & P500 a franchi la barre des 3 000 points : les marchés sont prêts pour une réduction du taux de la Fed lors de la réunion d’octobre. Toutefois, à en juger par les contrats à terme sur la bourse de Chicago, il pourrait s’agir de la dernière baisse, après quoi l’ensemble des taux de 2020 pourra se stabiliser dans un certain créneau. Hier, en fin de journée, l’indice DJIA a progressé de 0,17% à 26833,95 points, l’indice S & P 500 a progressé de 0,28% à 3004,52 points, l’indice NASDAQ Composite a progressé de 0,19% à 8119,79 points.
Hier, les prix du brut ont affiché une hausse de 2,46% grâce aux dernières statistiques des stocks aux États-Unis : le département américain de l’Énergie a annoncé une diminution des réserves du pétrole de 1,7 million de barils. Néanmoins, selon les experts, les prévisions prévoient un excédent important du pétrole au premier semestre 2020. Ce matin, le Brent a atteint 61,02 $ (-0,25%), WTI : 55,65 $ (-0,57%), or : 1491,15 $ (-0,05%).