Les contrats à terme pour les principaux indices américains indiquent une croissance entre 1,15% (NASDAQ) et 1,3% (S&P 500). Les doutes sur le vaccin contre le COVID-19 persistent. Par contre, les injections de trésorerie font leur travail et il n’y a pas de pénurie de liquidités sur le marché.
Un optimisme prudent est revenu sur les marchés européens et qui est presque disparu après que les experts ont critiqué les prétentions du laboratoire de Moderna pour développer un vaccin contre le COVID-19. En Europe, les statistiques d’inflation ont été mises à jour. Au Royaume-Uni, elle est tombée à 0,8% en avril contre 1,5% en mars. Dans la zone euro, l’inflation est tombée à 0,3% en avril contre les prévisions de 0,4%. Il s’agit du taux de croissance des prix le plus bas de la zone euro depuis 2016. Cet après-midi, l’indice FTSE 100 a atteint 6019,99 p. (+ 0,30%), DAX – 11099,48 p. (+ 0,22%), CAC 40 – 4438,59 p. (-0,44%).
En ce qui concerne le marché pétrolier, hier, un rapport d’API bien « haussier » est sorti. L’API a indiqué que les réserves commerciales de pétrole aux États-Unis avaient chuté de 4,8 millions de barils par semaine à la date du 15 mai.
La Chine a eu des négociations avec l’OPEP, à l’issue desquels la partie chinoise a promis un rétablissement rapide du niveau précédent de consommation de pétrole. Cet après-midi, le Brent a été négocié à 35,45 $ (+ 2,31%), WTI : 32,63 $ (+ 2,10%), or : 1755,7 $ (+ 0,58%), cuivre : 5344,02 $ (+ 0,25%), nickel : 12410 $ (-0,35%).