En avril, la production pétrolière de l’OPEP a diminué de 48 000 barils par jour par rapport aux niveaux de mars pour atteindre 26,58 millions de barils, principalement à cause du Nigeria, de l’Irak et du Venezuela.

Selon des sources secondaires, la production totale de pétrole de l’OPEP en avril 2024 s’élevait en moyenne à 26,58 millions de barils par jour, soit 48 000 barils de moins que le mois précédent.

La production pétrolière a augmenté principalement au Congo et en Iran, tandis que la production au Nigeria, en Irak et au Venezuela a diminué.

La production réelle des pays de l’organisation participant à l’accord OPEP+ s’élève à 21,378 millions de barils par jour, avec un objectif de 23,835 millions de barils. Ainsi, les pays de l’OPEP dotés de quotas ont réduit leur production de 2,457 millions de barils par jour au-dessus des niveaux autorisés.

Les quotas de production pétrolière de l’OPEP+, hors Angola, qui a quitté l’alliance, ont diminué d’environ 1 million de barils par jour depuis début 2024. Désormais, la limite totale est de 39,425 millions de barils par jour, sans compter les indicateurs du nouveau participant – le Brésil, qui, selon les experts, produit à près de 3 millions de barils par jour, ainsi que les membres de l’OPEP qui ne participent pas à l’accord – le Venezuela, Iran et Libye.

Tout au long de 2024, les membres de l’alliance continuent de réduire volontairement leur production au-delà des quotas d’un total de 1,66 million de barils par jour.

Jusqu’à la fin du deuxième trimestre, l’Arabie saoudite réduit sa production d’un million de barils par jour. En avril-juin, la Russie a réduit ses exportations et sa production de pétrole de 471 000 barils au total. Un certain nombre d’autres membres de l’alliance vont réduire encore leur production de 700 000 barils par jour d’ici fin juin.